Dans toute démocratie, le contrat social repose sur des principes intangibles aux premier rangs desquels figure la justice.
Sans présager de la décision finale du magistrat en toute indépendance, le Président du Conseil départemental, Guy LOSBAR, trouve incompréhensible et inadmissible de requérir un non-lieu dans « l’affaire Claude JEAN-PIERRE », alors que ce dossier pose précisément la question de l’usage proportionné de la force par des dépositaires de l’ordre public.
Refuser la tenue d’un procès en bonne et due forme s’apparenterait donc, aux yeux du président LOSBAR, à un déni de justice.
Ce serait un nouveau déni après le non-lieu prononcé dans l’affaire du scandale de l’empoisonnement de nos terres et de nos populations par le chlordecone.
Or, nous le savons tous, Il n’y a pas de paix sans justice.
Alors que la Nuit européenne des musées s’y tenait quelques heures plus tôt, l’éco-musée de Marie-Galante a été cambriolé dans la nuit de samedi à dimanche.
Des individus peu scrupuleux se sont introduits dans les bureaux de l’administration et ont forcé l’armoire de sécurité dans laquelle se trouvait du matériel de travail. Un écran d’ordinateur, des appareils photo, enregistreurs mais aussi deux disques durs ont été dérobés.
De nombreuses heures d’enregistrements audio et vidéo consacrés aux chants de labour ou encore les archives numérisées de l’écomusée étaient stockées sur ces supports, soit toute la collecte patrimoniale réalisée par les équipes de l’écomusée.
Au-delà des appareils dérobés, la perte est conséquente pour le patrimoine immatériel de l’île, et plus généralement pour l’archipel guadeloupéen.
En milieu de semaine dernière, l’habitation Roussel-Trianon avait déjà fait les frais des cambrioleurs, qui se sont introduits dans l’écurie et ont volé de l’essence et les outils de jardinage.
Le Président du Conseil départemental, Guy LOSBAR, condamne fermement ces actes indignes qui portent préjudice à notre patrimoine.
Le Président du Conseil départemental, Guy LOSBAR, condamne fermement les dégradations perpétrées, ce jour, sur les bâtiments du collège Florette Morand, à Morne-à-L’eau.
Le Président fait part de son indignation face à une nouvelle attaque faite à l’encontre d’un établissement scolaire, alors que de telles structures devraient être considérées par tous comme des sanctuaires.
Encore une fois, un acte répréhensible commis par des adultes vient pénaliser des jeunes guadeloupéens dont la scolarité pâtit depuis plus de deux ans de la crise sanitaire.
Pour Guy Losbar, détériorer un établissement scolaire revient àhypothéquer l’avenir du pays.